Du vendredi 27 au dimanche 29 novembre, la grande collecte annuelle de la Banque alimentaire a été organisée par des bénévoles de la Croix-Rouge à l’hypermarché Carrefour dans le centre-ville. Les donateurs ont été au rendez-vous. Au total, environ 3,42 tonnes de denrées alimentaires ont été récoltées, précise Jean-Paul Bertrand, président de l'unité locale de la Croix-Rouge.
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Le député (LFI) Éric Coquerel prépare un projet de loi pour « éradiquer le trafic de drogue ». Une problématique « qui [le] tient à cœur ».« Cela pourrit la vie des habitants de ma circonscription. Cela fait des blessés et des morts, notamment parmi les petites mains du trafic.
Plus d’une centaine de personnes ont répondu à l’appel du collectif féministe Les Dionysiennes ce 25 novembre, pour un rassemblement à l’occasion de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.
Le café-galerie Marguerite Charlie maintient son activité de restauration à emporter (1) du 1er au 19 décembre. En parallèle, l’espace accueillera la boutique éphémère du 6b et mettra en avant une vingtaine de ses artistes résidents.
Senny Camara n’est pas qu’une joueuse de kora. De sa voix lumineuse qui file droit comme un éclair, l’artiste dionysienne dessine les contours d’une personnalité façonnée par des mélodies ancestrales, chevillée à un désir d’émancipation caractérisé.
Six squares (Robespierre, Pierre-de-Montreuil, Degeyter, Auguste-Poullain, Brise-Échalas, Acrobates) avaient été fermés pour éviter l’installation de nouveaux campements, après l’évacuation de celui dit de l’Écluse, mardi 17 novembre. Depuis jeudi 26 novembre, ils ont rouvert au public.
« C’est une première expérimentation pour Paris 8 », relate Ilaria Pirone, maître de conférences au sein de l’université dionysienne et responsable pédagogique du DU Universitas. En raison du contexte sanitaire, le diplôme universitaire censé être officiellement lancé le mardi 3novembre, l’a été la semaine suivante.
Quand on passe la porte de la classe à l’heure du goûter, un calme plutôt rare règne. Rahim, Océane, Mohammed et les cinq autres élèves de la classe UEEA (unité d’enseignement en élémentaire pour enfants autistes) d’Annick avalent leurs gâteaux avant de retourner à leur activité.
Un attroupement de blouses blanches, pancartes à la main, le long du boulevard Anatole-France. La vision interpelle ce mardi matin 24 novembre. À l’appel de Force ouvrière, une partie des 270 salariés dionysiens de Biogroup sont en grève reconductible.
Le 28 août, la Ville de Saint-Denis prenait un arrêté pour interdire la consommation de narguilé dans l’espace public jusqu’au 31 janvier 2021. Contesté par l’opposition, l’arrêté a aussi fait l’objet de deux recours de la part de la Ligue des droits de l’homme (LDH).
Jeudi 19 novembre, 12h30, la cellule de crise de l’hôpital Delafontaine se tient pour faire un point sur l’évolution de l’épidémie de Covid-19. Les nouvelles sont bonnes : une tendance positive à la baisse se dessine, avec une accélération des sorties de patients.
Sandro G. a l’impression de sortir d’un long tunnel. Convalescent, l’homme de 52 ans a encore la mine creusée par la maladie, mais il revit.
L’acteur et réalisateur dionysien Simon Frenay organise un casting pour son moyen-métrage Youssou et Malek (35 mn) produit par La Belle Affaire Productions, dont le tournage se déroulera à Saint-Denis et débutera l’été prochain.
Il n’est pas loin de 23 h lorsque l’arbitre bulgare Nikola Popov siffle la fin de la rencontre de football entre la France et la Finlande au Stade de France. Les champions du monde français s’inclinent 2-0 et ont livré une prestation très moyenne.
Agen vient d’encaisser une dixième défaite en autant de matches à Toulon samedi 14 novembre lorsqu’un communiqué tombe dans la foulée. Régis Sonnes est nommé entraîneur principal, accompagné de Sylvain Mirande pour les trois quarts et de Jalil Narjissi pour les avants. Ce dernier, 40 ans, est loin d’être inconnu à Saint-Denis.
Aux confins de Saint-Denis et La Courneuve, sur l’ancien site du Fort de l’Est, Plaine Commune Habitat construit à l’angle de la rue du Maréchal-Lyautey et de l’avenue de Presov un ensemble de 73 logements sociaux.
Elle faisait partie des nouvelles promesses de campagne du candidat Mathieu Hanotin (PS). Présentée en juin comme moyen de mobiliser un vivier de volontaires en situation de crise, la réserve citoyenne dionysienne a été lancée jeudi 19 novembre.
Dans la cour des habitations où on la reçoit, Samia Amekhouk fait le tour du propriétaire. Elle repère le pommier dans le jardin des voisins, laissé à l’abandon. Imagine une stratégie pour aller récupérer ces fruits qui ne profitent qu’aux animaux errants, puis tout ce qu’elle pourrait cuisiner avec ce butin fictif.
Un portrait à la Une du JSD est un objet rare. Mais en ce mercredi 25 novembre, journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, l’histoire de Samia Amekhouk justifiait de bouleverser nos habitudes.
La Covid-19 n’a pas que des conséquences sanitaires. L’épidémie fait aussi des victimes collatérales, notamment les femmes. Le 3919, numéro national de référence pour les femmes victimes de violences, a reçu pas moins de 44 235 appels, soit une hausse de 400 % entre le 16 mars et le 10 mai, dates qui correspondent à la période du premier confinement.
Depuis le 2 octobre et le début du conflit social sur le temps de travail des agents municipaux (lire en page 5), le service public des cantines en élémentaire et maternelle est très perturbé. Jeudi 19 novembre en conseil municipal, Mathieu Hanotin a annoncé des mesures exceptionnelles afin de compenser en partie le désagrément pour les usagers.
Déjà deux fleuristes, une librairie, un caviste, une boulangerie, une pâtisserie, deux épiceries, un fromager, trois enseignes de vêtements et un restaurant ont rejoint le service de livraison à vélo mis en place par la Ville de Saint-Denis. Cette liste n’est pas exhaustive et les commerçants qui le souhaitent peuvent encore s’associer au dispositif.
L’adoption par le conseil municipal d’une délibération faisant passer le temps de travail annuel des agents municipaux à 1607 heures et d’une autre instituant un nouveau régime indemnitaire lié en partie à la présence des fonctionnaires, mettra-t-elle fin au mouvement social qui perturb
Sadia, mère de quatre enfants, stationne ce vendredi 20 novembre à 11h15 devant l’école Lili-Boulanger/Petits-Pianos, quartier Pleyel. Elle attend les autres parents avec qui elle a décidé d’occuper l’école pour protester contre l’absence de cantine, conséquence du mouvement de grève du personnel communal.